Evénements
ART MONTPELLIER Foire méditERRANéEnne des arts conteMPORAINS 6- 10 Décembre 2017
Lecture poétique autour de l'exposition "érosion" d'YZO Dim .8 oct 2017. 15h30
Galerie Europ'Art
Vous propose une lecture poétique autour de l'exposition "érosion" d'YZO (sculpteur de métal) Dimanche 8 octobre 2017 à 15 h 30 Deux poètes Roselyne Sibille et Jean Palomba et mise en musique par le Duo Garage Blonde Si vous souhaitez participer à cette rencontre créative et unique c'est avec plaisir que nous vous recevrons. A la Galerie Europ'Art 6 rue Marceau - 30220 Aigues Mortes Pour toute question, ou réservation 06 11 42 92 38 |
Jacques Gorde du 10 mai - 07 juin 2015 dimanche 10 mai 2015 Matinée - rencontre et vernissage
Lovisa Fouché de mai a septembre 2014
Née en 1958 à Dax, Brigitte Lovisa-Fouché est diplômée de l’École Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d’Art (ENSAAMA) Olivier de Serres – Paris. Elle se spécialise dans l’art mural, notamment le vitrail qu’elle pratique pendant quatorze ans. Elle effectue de nombreuses restaurations et commandes officielles dans le cadre de l’Atelier Sylvie Gaudin jusqu’en 1996. Elle restaure entre autres les vitraux de la Cathédrale de Sens. De 1997 à 2007, elle se consacre à l’éducation de ses enfants sans jamais cesser de peindre. Inscrite à la Maison des Artistes en 2009, elle enchaîne les expositions à travers la France (Paris, Lyon, Toulouse, Reims, Bordeaux, Hossegor…). Elle voyage dans différents univers avec une boulimie productive sur bois ou sur toile de lin, alternant personnages et villes. Sa série « New York » reflète l’énergie et la frénésie de la société de consommation. Elle travaille en mêlant acrylique, collages et recyclage de canettes de soda et boîtes de conserve clouées sur bois dans une ambiance speedée de «cartoons». Brigitte Lovisa-Fouché s’inspire de la Figuration Libre et on retrouve dans ses oeuvres l’influence d’artistes très « urbains », tels qu’Andy Warhol, Keith Haring, Basquiat, Alechinsky et Combas. On voit qu’elle s’amuse et son plaisir est contagieux |
Raymond Attanasio "Silence des yeux" du 27 février au 27 mars 2014 Matinée débat
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Cette vidéo a été réalisée à la suite de cette présentation
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Marie odile Torné Février 2013
Céramistes contemporaines - Christelle Dupaquier - Claude Bonon - Patricia Brockly du 1er novembre au 28 décembre 2012
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Présentation à la galerie Europ'art Aigues Mortes |
Patrice Vermeille Les Dessins de P. Vermeille du 29 avril au 2juin 2012
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L’univers de Patrice Vermeille ne se réfère à notre réalité que de manière allusive. Chez lui la peinture compense, par la créativité graphique ou colorée, les insuffisances de nos systèmes de représentation. C’est que la peinture ouvre une dimension inédite, n’existant qu’à partir du moment où un créateur décide de lui prêter vie. Il y a tout un aspect cosmogonique dans l’oeuvre de Vermeille, que l’on sent aisément dans des séries comme Genèse ou Déluge par exemple. L’artiste est un reCréateur ou mieux, un concepteur de potentialités. On sent ce qui peut intéresser cet artistes dans les conceptions virtuelles de notre technologie avancée en matière d’informatique. L’ordinateur conçoit le virtuel, le Créateur le fait accéder au statut de réel, si on entend par ce mot une virtualité qui trouve sa place dans la réalité des codes régissant la vie en communauté, dont l’art est partie intégrante. Le cerveau conçoit mais la main exécute. D’où ce graphisme finement hachuré, identifiable et allusif, qui caractérise la production de Vermeille.
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Jo Lindor
Jo Lindor ou l’échappée belle
Sous ses pinceaux, les angles s’arrondissent, se polissent, s’adoucissent ; les toiles deviennent fenêtres, s’ouvrent sur des peut-être où les peurs se dérobent, où les cœurs se débordent. Impossible de rester l’un aux autres étranger quand sa peinture invite au seul voyage qui soit : passer le pont qui va de l’encontre aux rencontres pour voir, entendre, sentir, s’approcher de ce qui n’a pas l’air d’être nous, et finalement aimer, fléchir sans réfléchir et sans plus comparer. Les bruns, les ocres, les siennes d’une terre où l’artiste, d’emblée, s’est sentie africaine, ont besoin, pour vibrer, des gris, bleus et garance d’une France où elle revient, le temps de préparer le désordre polychrome d’une vie qui recommence. Instinctive, empathique, c’est tous sens en alerte qu’elle comprend et accepte ce qui l’environne, immédiatement prête pour ce qui l’émerveille ou pour ce qui l’afflige. Si parfois elle trébuche sur une pierre de malheur, Jo se soustrait au monde. Pudique et silencieuse, elle panse sa blessure, apprivoise l’insoutenable pour enfin retrouver l’insouciance, l’insolence d’une enfance obstinée dont cette « madame Quand Même » a besoin pour créer. C’est donc absolument étrangère à ce qui doit ou ne doit pas se faire, comme disent les grandes personnes, que la petite fille aux grands yeux bleus toujours ouverts s’applique à colorier rectangles, cercles et losanges, à les juxtaposer au gré de ses ferveurs, ses peurs et ses fureurs, à les désordonner jusqu’à les évader au-delà des châssis toujours un petit trop carrés. |
Présences Africaines
Française, mariée, deux grand enfants, JO LINDOR vit en Afrique depuis 1974, Côte d'Ivoire, Gabon, Cameroun. A commencé à peindre en 1992, vit un immense bonheur "pictural" qui se traduit dans ses recherches par une écriture, faite de matières et de couleurs, qui laisse deviner une passion sans cesse renouvelée! Cliquez ici pour modifier.
Dans les cases-maisons elle installe des enfants, dans les cases bateaux, elle assoit des pêcheurs, dans les cases jardin, elle sème les graines des fleurs que nos regards feront peut-être éclore et, dans ses aquarelles, dans les auras diluées entre les personnages, elle dépose des mots qui racontent leur histoire. Dans les toiles de Jo, il y a plein de vivants ; quand on ne les voit pas, c’est qu’ils dorment à l’abri d’une couleur maison ou qu’ils n’ont pas osé entrer dans la lumière. Ah ! Les lumières de Jo… Fraîches, brûlantes, indulgentes, implacables, semblables aux regards que l’artiste pose sur le monde.
Encombrée d’une vie intérieure turbulente, donc inapte à l’ennui, Jo Lindor se relève et s’élève au-dessus des chagrins, de nouveau prête à rire, à rugir, à aimer. Partageuse pleine d’envies, elle célèbre la vie pour ce qu’elle recèle de splendeurs à l’envi, et aussi de douleurs qu’il faut laisser entrer, entendre, comprendre et puis dompter comme elle dompte la couleur : en douceur. En choisissant de peindre à l’huile, elle s’autorise à revenir tout en souplesse sur une teinte qui lui résiste jusqu’à ce qu’elle lui obéisse. A nous de suivre son enseignement en regardant longuement ses toiles, l’une après l’autre, l’autre après l’une, jusqu’à y voir vraiment ce qu’elle y a crié, prié, psalmodié, chuchoté pour nous tous, jusqu’à nous y reconnaître. Aucun risque de s’y tromper ou de s’y perdre ; sa peinture est universelle ! Colette Ollivier-Chantrel, le 13 Octobre 2011 |
Daniel Garcia / verrier contemporain Serge Lunal peintre et céramiste 13 nov. 2011 - 11 janv. 2012
Serge Lunal peintre et céramiste
Après des études à l’école des Beaux Arts de Montpellier, Serge Lunal obtient le C.A.F.A.S et le Diplôme National des Beaux Arts (section peinture), puis entame une carrière de professeur d’arts plastiques en collège et lycée.
En 1968, Lunal réalise sa première exposition personnelle à la Galerie Cabezon, à Montpellier, intitulée Plastimutations ; elle définira de manière didactique l’axe de recherche de toutes les créations suivantes. Commence alors une longue série d’expositions thématiques. En 1979, il présente un ensemble de peintures à l’huile prenant pour motif le Pic Saint-Loup, de facture classique, mais de conception contemporaine. Le musée Fabre de Montpellier acquiert une de ces œuvres. Rencontre déterminante alors avec le philosophe Michel Navratil, rescapé du Titanic et spécialiste du temps. De 1980 à 1982, Serge Lunal participe à des manifestations de Muro Torto organisées par Christian Prigent et la revue TXT (Rome, Nantes, Toulouse) où il présente ses Lances et ses Cintres. A partir de 1983, les formats s’agrandissent, la toile devient libre et l’acrylique s’impose. Le monolithisme du Pic Saint-Loup laisse place aux fractionnements, dans un espace infini, ce sont les Météorites, puis les Objets horaires. Comme par un effet de zoom, les formats se réduisent et présentent des objets abstraits désignés par un horaire. En 2002, Christian Prigent écrit : « Les peintures de Serge Lunal frappent par la gestualité dansée-lente du geste coloré qui emporte les pigments dans la fluidité à la fois noyante et tendue d’arabesques rompues ou ponctuées de signes aléatoires. La surface peinte est animée par des effets de superpositions, d’hésitations, de dérapages rapides d’une forme colorée à une autre. Mais cette visibilité immédiate n’efface pas la suggestion dans l’espace qui s’offre à nous, d’un « objet » comme retiré et pourtant affleurant sans cesse sous les champs de couleurs agitées par sa pression. » Viennent alors la série des Marines (2002), celle des Tondi (2004) et enfin les Egides de Marsias (2006). La même année Serge Lunal renoue avec la toile libre pour son exposition de Collioure : « Il fait beau encore ». Serge Lunal a participé à plusieurs ouvrages collectifs ( Ecbolade, Carte Blanche,Rivières…) et a réalisé de nombreuses interventions plastiques dans des livres de : Michel Butor, Fabienne Courtade, Régine Detambel, Jean-Claude Hauc, Philippe Lekeuche, René Pons, Christian Prigent, Jean-Pierre Verheggen… |
Principales expositions personnelles Galerie De Cabezon, Montpellier, 1968. Galerie Daniel Kuentz, Montpellier 1978. Mais où est donc or ni CAR NON, Carnon 1979. Il fait beau, Galerie Daniel Kuentz, Montpellier 1981. Fondation du Pioch Pelat, Castelnau le Lez 1982. Musée des Beaux Arts, Clermont-Ferrand 1983. MLC – Belle Ile, Châteauroux 1983. Fondation du Pioch Pelat, Castelnau le Lez 1984. Salle Louis Feuillade, Lunel 1984. Galerie Actuel, Metz 1985. Fondation du Pioch Pelat, Castelnau le Lez 1986. La Maison du Livre et des Mots, Avignon 1987. Littoral, Littéral, Médiathèque de Saint-Gilles 1999. Paysages de mémoire, Le Plumier, Beaucaire 2002. Galerie La Salamandre, Nîmes 2002. Groupe d’Art Contemporain, Annonay 2003. Fondation du Pioch Pelat, Castelnau le Lez 2004. Galerie La Salamandre, Nîmes 2004. La Réserve, Montpellier 2005. Il fait beau encore, Galerie du Tenyidor, Collioure 2006 |
Daniel Garcia
"AMADEO" Originaire de Montpellier Daniel Garcia décide à 55 ans, une reconversion dans un métier d'art. Formé aux techniques du Fusing et Thermoformage à Vannes le Chatel au Centre Européen de Recherche et de Formation aux Arts Verriers, au contact d'artistes verriers de réputation internationale, Daniel Garcia "Amadéo" travaille intensément pour appréhender et maitriser la matière et la technique et donner au verre une valeur artistique et artisanale. Son inspiration actuelle est animée par les infinies possibilités de métamorphose du verre. En perpétuelle mutation, ses créations le conduisent vers la sculpture du verre, pièce unique. Il s'émerveille et s'amuse avec la matière qui a l'incomparable propriété de jouer avec les couleurs, la lumière, et la transparence. Ses œuvres s'inspirent des couleurs et des lumières ramenées de quelques beaux voyages, elles prennent formes avec le temps, car sa démarche c'est le temps, le temps de rêver, le temps d'imaginer, le temps de dessiner, le temps de créer des modèles, le temps de découper le verre, le temps de colorer de poudre le verre, le temps de la fusion du verre et de la couleur dans un four à plus de 800°, le temps de découvrir le résultat et de parachever la sculpture avant qu'elle vienne vous émerveiller. Seul le temps ouvre de nouvelles perspectives et de nouvelles solutions à de nouveaux projets. Et comme il aime à dire : "Ma seule ambition est de vous faire plaisir en me faisant plaisir, de vous emporter dans votre propre imaginaire et vous faire rêver." |
MC Schrijen - Jaulmes - Jansen / Photos comptemporaines
Pour en savoir plus sur sur Marie Christine Schrijen
Anne marie Soulcié Matinée - rencontre et vernissage 13 février - 13 mars 2011
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Le concept de « passeur » s’est imposé à moi au fil de lectures qui traitent de celui-ci. Lié à sa terre, sa cabane et au fleuve qui le transporte, l’homme est passeur de culture par le lien qu’il instaure avec l’autre. Il doit faire preuve de maîtrise pour que la mouvance des flots ne déstabilise pas son embarcation. Le maniement de sa rame, alerte malgré les péripéties des multiples roulis, doit conduire d’un point à un autre sa cargaison avec doigté, circonspection et sécurité. Le retour est prévu dès le départ ainsi que sa trajectoire immuable. Ce passeur-là n’explore pas l’univers mais la petite distance. Il ne sait que rarement ce qu’il passe mais est le garant d’une certaine avancée, si courte soit-elle, de la richesse inhérente à toutes ces rencontres engendrant quelques bribes de dialogue.
L’utilisation du pastel permet le passage, sans rupture, du dessin à la couleur, de l’effacement à la précision grâce à la diversité de tons de ses bâtonnets. Immédiateté et promptitude accompagnent un état somnambulique autorisant tous les possibles où l’imagination fertile trouve une place de choix. S’abandonner à la fantaisie et s’amuser des rencontres que suscitent les fragments d’images naissants, permettent l’état singulier de tout rêve éveillé. Cette disposition, en s’éloignant obligatoirement du réel, de son temps, permet la distance nécessaire pour rétablir le contact avec soi-même et de s’en rapprocher au plus près. |
Ulrike Vidalain / peintre plasticienne / " De lorient à l'occident" Matinée - rencontre et vernissage
ARt nim 2010 A. Jansen Chappert Gaujal jordi 24 - 27 septembre 2010
Jacques Clauzel Peintre, graveur et photographe
JACQUES CLAUZEL (Peintre – graveur – photographe)
Galerie Europ’Art, 6 rue Marceau ( 28 mars – 7 mai 2010 ) On ne peut être que frappé par l'impression de sobriété qui se dégage des tableaux, sobriété à peine dérangée par la variété des formats et des propositions qui s'en dégagent. Le contraste entre le jeu du noir et du blanc accentue encore l'extrême, pour ne pas dire austère, simplicité de l'ensemble souvent qualifié de primitivisme. La pauvreté voulue du matériau, papier kraft, mine de plomb, jus noirs et blancs dilués, et plus encore les pliures, grattages, scarifications imposées au papier, évoquent l'Afrique où le peintre a vécu quelques années. .. …Il faut en effet un métier extrêmement tenu, allié à une recherche non moins exigeante, pour obtenir de la palette restreinte dont se sert le peintre les remarquables effets de couleur dont se parent les tableaux. Suivant l'épaisseur ou la fluidité des jus, le choix du mat ou du brillant, montent à la surface des bleus ou des rosés improbables. Les toiles, suivant le déplacement du regard, se nacrent, ça et là, de lueurs qui contredisent l'austérité première. Les pliures qui sont une constante de l'œuvre ne cessent d'interpeller : tantôt elles s'affirment en retenant sur leur ligne infime le matériau coloré et s'opposent à un passage trop simple du regard; tantôt, griffées sur toute leur longueur, elles laissent monter, comme un monde en gésine, l'ocre du kraft. Ce travail sur l'infinitésimal n'a pas pour but de se saisir de la matière mais de la pousser jusque dans ses retranchements, de l'accompagner pour mieux la contredire, de l'user jusqu'à la trace où s'indique ce qui est primordial et insaisissable. Art dont paradoxalement la retenue ne cesse de provoquer. A quoi ? Pro-vocare, appeler, héler de loin, s'engager sans recours dans l'appel : à une présence soudain advenue qui est vibration plus que forme connue, intemporelle comme la peinture. Paule Plouvier |
La Digigraphie 4 photographes / Pierre Schwartz - Frédéric Jaulmes - Aline jansen - Jordi - Matinée - rencontre et vernissage
Pierre Schwartz - Frédéric Jaulmes - Aline jansen - Jordi
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A. Jansen / F. Jaulmes / Jordi / P. Schwartz
La Digigraphie® vous ouvre un nouvel horizon. Grâce à elle, le monde de l'art exploite enfin tous les avantages des technologies numériques, tout en garantissant une qualité et une conservation exceptionnelles des œuvres produites selon ce label. La Digigraphie® permet à tout Artiste photographe ou peintre de réaliser l'Edition limitée de très grande qualité de ses œuvres originales, et dans le respect total de sa création. |
Le livre objet - Sophie Blachet "Le livre est une oeuvre d'Art Europ'art / Artvitam 11 octobre - 8 novembre 2009
«Le livre est une oeuvre d’art»
Exposition unique sur les livres-objets 16 artistes de 4 pays : du 11 octobre au 8 Novembre 2009 Qu’est-ce qu’un livre-objet? D’après Isabelle Jameson “la forme du livre est utilisée parce qu’elle sert le propos de l’artiste, mais elle se trouve sublimée à travers un autre langage. En perdant ses caractéristiques physiques et formelles, le livre perd sa spécificité livresque au profit du statut d’objet d’art, au sens traditionnel du terme.” Presse...
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Ne pas voir un livre-objet, ça serait comme ne pas voir une peinture.
Bizarre me direz-vous. Alors que la France a une relation très particulière avec le livre depuis des siècles, ce sont des organismes comme le Guild of Bookworkers ou encore les Centers for Book Art basés aux Etats-Unis qui ont élevé le livre-objet comme une technique artistique à part entière. Cette exposition « Le livre est une oeuvre d’art » à la Galerie Europ’Art située à Aigues-Mortes. souhaite rendre hommage à tous les artistes travaillant le livre, comme objet d’art. Convaincus, que le livre sculpture, le pop up, le livre accordéon ou le livre tunnel, pour n’en citer que quelques-uns, ne sont pas des oeuvres à négliger, Aline Jansen de la Galerie Europ’Art et Sophie Blachet d’Art Vitam articulent une exposition unique en son genre. Deux Galeries ARTVITAM & EUROP’ART : 6 rue Marceau - Aigues-Mortes 30220 – France |
Les Editions de Rémy Bucciali / gravure conyemporaine / rencontre et vernissage
Pour en savoir plus sur
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De la gravure a la gravure contemporaine par Rémy Bucciali
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Jordi "Empreinte" 8 février 15 mars 200ç
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ORDI s’est trouvé un langage : une forme unique , assez ludique , composée de 2 lignes droites et 2 lignes courbes identiques deux à deux , souvent utilisée comme empreinte ou volume . Ce pictogramme est donc décliné en 2 et 3 D. et avec des médiums différents : oeuvre sur papier, peinture, sculpture, installation, photographie, design… C’est avec un acharnement tranquille , mais volontaire et assez implacable qu’il travaille à son histoire : celle d’une seule et unique forme : une épure … toujours la même mais rarement identique . Et ce avec cette incroyable capacité d’invention de nouveaux chemins,
pour un concept qu’il souhaite total .En 2001, la Galerie Europ’art avait déjà réalisé avec Jordi, une exposition personnelle de ce travail si particulier. |
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ArtéNIMES 2008 parrainage groupe Sarro jansen peintre et sculpteur
Patrice vermeille - Peintures et gravures de P. Vermeille - du 13 avril au 10 mai 2008
Pour en savoir plus sur Patrice Vermeille
L’univers de Patrice Vermeille ne se réfère à notre réalité que de manière allusive. Chez lui la peinture compense, par la créativité graphique ou colorée, les insuffisances de nos systèmes de représentation. C’est que la peinture ouvre une dimension inédite, n’existant qu’à partir du moment où un créateur décide de lui prêter vie. Il y a tout un aspect cosmogonique dans l’oeuvre de Vermeille, que l’on sent aisément dans des séries comme Genèse ou Déluge par exemple. L’artiste est un reCréateur ou mieux, un concepteur de potentialités. On sent ce qui peut intéresser cet artistes dans les conceptions virtuelles de notre technologie avancée en matière d’informatique. L’ordinateur conçoit le virtuel, le Créateur le fait accéder au statut de réel, si on entend par ce mot une virtualité qui trouve sa place dans la réalité des codes régissant la vie en communauté, dont l’art est partie intégrante. Le cerveau conçoit mais la main exécute. D’où ce graphisme finement hachuré, identifiable et allusif, qui caractérise la production de Vermeille.
Marie Christine schrijen photos - Jacques Victor andre sculpteur fev - mars 2008
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P.Chappert Gaujal - Jordi Sculpteurs plasticiens Marie Annick Cébé peintre 12 nov.. - 9 déc. 2006
Françoise Bertch - morgat petit -yves marcerou - Avinens